Fear of Tomorrow
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 « Au fond, à quoi sert-on ? » | libre

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2 participants
AuteurMessage
Hope Jones

Hope Jones


Nombre de messages : 21
in my mind : : ● Le flou total... la perte de soi...

in my heart : : ● Mon coeur est trop bien caché pour que vous le trouviez...

i say : : ● Je n'ai plus aucunes raisons de vouloir continuer ....

me myself and i : : by nadia

# More.
i love them. or not ::

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MessageSujet: « Au fond, à quoi sert-on ? » | libre   « Au fond, à quoi sert-on ? » | libre I_icon_minitimeMer 8 Juil - 11:34

    En y pensant. Les Hommes ne sont rien sur Terre, de minuscules choses contrôlés par les éléments… Pliant sous le vent et fuyant sous la pluie. Des êtres naissant et mourant. Tout recommençant en un cycle continu et monotone. La vie contrôlée par le bon vouloir de la nature… Toutes ces choses font de cette Terre une planète envahie de personne savant que leur vie commence à raccourcir à partir de leur naissance… Tout le monde fini par mourir… Quelque soit l’âge, nous savons tous que toutes vie sur le Terre à une fin… Alors qu’elle est le sens de cette vie ? A-t-on vraiment une raison de se croire chanceux d’être là ? A-t-on ne serait-ce qu’une raison d’être heureux quand sait que de toute façon notre destin est celé par la mort ? Au fond dans le monde, vous connaissez une personne sur des milliers… Une sur tous les êtres humains sur Terre peut être la personne qui change votre vie… Une sur toutes peut être celle qui peut pourrir votre existence… Comment savoir si l’on tombe sur la bonne ? Autant de questions pour une si petite existence… Quand l’on pense que certains se lève en se demandant se qu’ils vont manger au déjeuner alors que d’autres meurent de fin caché dans son coin. Comment un monde aussi cruel et admirable en même temps peut exister ? Ne vous êtes vous jamais dis en regardant les mauvaises nouvelles aux informations : « Ca aurait pu m’arriver … ». Jamais personne ne se dis des choses comme celles là. Non en fait, le monde est plein d’égocentrisme…

    Toutes ces choses tournaient dans la petite tête d’Hope. Elle était l’un des jouets de cette planète. Elle ne pouvait tout simplement pas se plaindre parce qu’elle avait une bonne vie. Un toit, de l’argent… Tout ce qu’il lui fallait pour pouvoir être heureuse… Mais l’était-elle vraiment. C’était ça la vraie question…. Hope était là. Dans un bus, elle ignorait où il l’amenait mais il était trop tard pour en trouver d’autres. Elle était pratiquement seule. Il y avait une femme. Plus vieille qu’elle d’une dizaine d’année. Et le conducteur, c’était un vieil homme qui ne cessait de regarder derrière lui pour s’assurer que les deux jeunes femmes ne préparaient pas de mauvais coups. Elle ignorait où elle était. Elle savait juste que ce bus faisait le tour de Los Angeles. Elle s’arrêterait surement au prochain arrêt. Elle venait de sortir d’une de ces nombreuses soirées arrosées. Elle avait pas mal bu. Elle était dehors depuis plus de deux heures et les effets de l’alcool commençait à se dissipé. Elle avait mal au crâne et n’avait qu’une envie : Rentrer se mettre dans son lit. La seconde femme était au plus loin d’Hope. Elle était encore plus en mauvais état que celle-ci. Pour Hope, cette fille était un cas désespéré. Elle n’était surement pas comme elle… Là, elle ignorait le nombre de point communs que les qu’elles pouvaient avoir. Elle ne rentrerait sans doute pas chez elle. De toute façon, elle ne savait même pas où elle avait laissé ses clés. Elle était seule dans une ville qu’elle connaissait depuis son enfance mais qui lui paraissait si étrangère quand il n’y avait plus personne dans les rues. Elle frissonna à l’idée de devoir sortir et affronter l’obscurité seule. Le chauffeur se racla et annonça :

    « C’est fini mesdemoiselles, c’était le dernier arrêt, vous devriez appeler un taxi… »


    Il paraissait très fier de se débarrassé ainsi des deux jeunes femmes. Il avait peur de quoi ? Qu’elles lui sautent dessus ? Ce n’était surement pas le genre d’Hope et l’autre jeune femme était beaucoup trop mal en point pour pouvoir lui faire du mal. Hope sortit, et le conducteur aida l’autre demoiselle à descendre la marche. Hope découvrit un paysage qu’elle n’avait jamais vraiment prit le temps de regarder. La vu du pont la nuit était absolument magnifique. On pouvait voir la lune se refléter dans l’eau du lac. Il ne faisait pas si noir que ça… Hope regarda l’autre demoiselle partir dans une direction qu’elle ne connaissait pas. Elle ignorait si elle avait vraiment conscience de là où elle allait. En tout cas, elle n’avait pas envie de l’aider. Elle avait beaucoup trop à faire… Trouver un moyen de rentrer. Elle était trop fatiguée pour marcher et la batterie de son portable était à plat. Il ne lui restait plus qu’à espérer qu’une bonne âme la prenne sur le bord de la route. Si toutefois une voiture s’aventurait dans les profondeurs de la ville à cette heure ci. Les gens étaient beaucoup trop prudents de nos jours. On voyait beaucoup trop de choses horribles pour sortir à ces heures. Il faut croire que tout cela ne faisait pas peur à notre chère Hope. Elle n’avait aucunes raisons de vouloir sauver sa peau. Aucune famille. Ou du moins aucuns parents l’amant. Aucunes personnes ne faisant battre son cœur. Elle était seule. Peut-être qu’Andrew ou Nate désapprouverait cela mais elle ne leur avait jamais vraiment parler de sa vie. Elle était la seule à connaitre tout les détails. Enfin c’est ce qu’elle croit en tout cas… Elle s’assit par terre contre d’un des bords du pont. Elle attendrait autant de temps que nécessaire. Elle prit son paquet de cigarettes dans l’une des poches de son sweat et un briquet de l’autre. Elle tenta de l’allumer… Impossible… Le réservoir était vide. Elle se leva et lança le briquet dans le lac en hurlant :

    « Merde ! »


    Elle se rassit à la place qu’elle occupait quelques minutes plus tôt et mit sa capuche en sentant la pluie arriver. Elle tombait dans la meilleure période de la journée. Elle était seule sous la pluie… Il faisait noir. On entendait le courant de l’eau montrant que le vent était présent et elle finira sans aucuns doutes avec un bon rhume le lendemain. De toute façon, elle n’était pas à ça près. Qui s’inquiéterait si elle devait mourir ? Sa mère ? Son beau-père ? Alors là surement pas… Si seulement ils pouvaient être débarrassés d’elle… Vous n’imaginez même pas le plaisir que cela leur ferait. Elle mit sa tête entre ses bras, dans ses genoux afin de minimisé l’impact des gouttes d’eau sur son visage. Déjà qu’elle ne devait pas avoir une bonne tête… Son jean était trempé et son sweat était de plus en plus lourd à porter au fur et à mesure que les gouttes s’écrasaient sur celui-ci. Ses pompes étaient les seules à être parfaitement imperméables. « Quel pitoyable vie ! » pensa-t-elle. Il fallait qu’elle se retrouve sur un pont qui devait être à l’opposé de chez elle. Dans une ville qui lui paraissait étrangère vu de là. Elle était un petit être insignifiant assise comme cela. Elle montrait à la Terre entière que même en ayant la richesse et le toit, elle était aussi malheureuse que toutes ces personnes qui ne possédaient rien. Ils n’avaient rien mais ils avaient une famille. Des personnes qui les aiment et qui s’inquiètent de ne pas les voir rentrer un soir de mauvais temps. Elle avait beaucoup de choses mais il lui manquait le plus important. Alors peut importe le nombre de dollar qu’elle puisse dépenser dans un magasin. Peut importe le nombre de chaussures présentent dans son entrée. La seule chose que l’on pouvait dire en la voyant c’est qu’elle était malheureuse. Qu’elle avait besoin d’aide mais qu’elle ne s’en rendait pas compte. Hope n’était pas le genre qui se plaint pour une chose stupide. Non elle gardait tous ses malheurs au détriment de sa propre existence.

    Elle tremblait. Elle avait froid. Elle avait les pieds congelés et personne n’était encore passé sur cette route. Certaines personnes n’étaient jamais là quand on avait besoin d’eux. En tout cas c’est ce que pensait Hope. Si seulement Andrew ou Nate avait pu passer par là … Elle aurait été curieusement contente de le voir… Elle entendait encore les paroles de sa mère dans sa tête « Tu vois ce qui arrive quand on traine avec la racaille. Je te l’avais dis Hope. Cassandra n’a eu que ce qu’elle méritait… ». Elle n’en revenait toujours pas. Hope n’avait jamais montré ne serait-ce qu’une seule faiblesse devant cette femme. Elle savait pertinemment qu’elle était de ceux qui voulaient avoir continuellement raison. Impossible de discuter avec quelqu’un qui vous considère comme une erreur de la nature. « Tu es comme ton père ! », cette phrase… Elle l’avait si souvent entendu… Elle savait que sa mère détestait son père. Pour Hope c’était clair. Elle ressentait la même haine pour elle que pour son père, qu’elle ne connaissait pas et qu’elle était contente de ne pas connaitre… Elle avait si souvent envie de dire des choses mais elle avait aussi tellement peur des répercutions que cela pourrait avoir. Elle n’était pas dupe. Elle savait très bien que sa mère n’attendait que cela pour pouvoir lui couper les vivre. Elle savait très bien qu’elle était un poids dans le porte monnaie de sa mère. Bien que la mégère n’ai jamais travaillé plus de deux jours pour pouvoir nourrir la maison. Elle avait toujours vécu au dépend d’un homme trop ivre pour comprendre comment partait son argent. Il y aurait eu un orage, cela aurait été le sommet de la malchance. Par bonheur la pluie finit par se calmer… Hope restait mouillé mais au moins elle pouvait redresser la tête sans avoir peur de se prendre de l’eau sur le visage. Elle regarda le ciel. Quelques étoiles perlaient le ciel par ci par là. Le monde paraissait parfois si beau… Alors pourquoi tant d’injustice ?
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Mila Johnson

Mila Johnson


Nombre de messages : 9
in my mind : : On ne peut renier ses racines

in my heart : : J'en ai un? Vous m'apprenez quelque chose!

i say : : Le mal est une femme

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MessageSujet: Re: « Au fond, à quoi sert-on ? » | libre   « Au fond, à quoi sert-on ? » | libre I_icon_minitimeVen 17 Juil - 14:18

    Mila avait eu du mal a s’endormir, le lendemain c’était la fête à Blackpool. La fête allait permettre de fêter, enfin l’arrivée d’un navire revenant d’Amérique. Les contrées environnante avait été invité, ainsi que quelque seigneur. Une chance pour Mila, elle allait enfin s’amuser et user encore de son charme sur de pauvres marins. A l’aube, Katrhyn arriva et sauta sur le semblant de lit où dormait Mila avec George. Depuis leurs 10 ans, ils dormaient ensembles même si rien ne c’était jamais passé entre eux, lui aussi avait perdu son père en mer, ce qui les avaient liés. Ceci était très mal vu par la population, alors a la nuit tombée, George rentrait chez lui et la rejoignait quand les rues étaient vides. Quand Mila déçida d’aller se balader, elle ne pensait pas que sa grand-mère allait lui trouver des gardes du corps en ses tantes. Elle savait qu’elle était chasse garder mais pas a ce point. Rusée, la jeune femme ne perdu pas de temps a perdre ses tantes dans les nombreuses rues. Quand elle arriva sur la place principale, les gens s’animaient pour préparer la fête. Elle ne resta pas longtemps sur la place, elle se mit à courir dans les ruelles qu’elle connaissait par cœur afin d’atteindre au plus vite le champs qui séparait la ville des autres villes. Elle y passa son après-midi en compagnie de George et de Katrhyn, comme trois gosses, ils se battaient dans la pailles, se lançait des pommes, se cachait derrière les arbres.

    On frappa a la porte, Mila était en faite allongé sur son canapé, la télécommande dans la main droite et elle regardait le plafond. Qui pouvait bien frapper à sa porte ? Elle se leva et se rendit compte qu’il y avait 1heure de passer entre le moment où elle c’était allongé et maintenant. Avant d’aller a la porte, elle alla devant la fenêtre d’où elle était elle voyait les gens se promener, et le bruit qu’il faisait avait du lui rappeler le souvenir que venait d’interrompre la personne devant la porte. Elle alla ensuite devant la porte et se regarda dans un des nombreux miroirs présent, se recoiffa, réajusta son décolleté et ouvrit la porte. Devant elle un livreur de pizza, extrêmement mal habillé, une chemise blanche avec des bandes rouges avec un pantalon marron, il était assez jeune. Mila s’appuya contre la porte, bien sur le livreur la regarda de la tête au pied. Sur sa chemise, était écrit son prénom et malgré les taches de sauce tomate, on pouvait apercevoir le prénom : ‘Bill ‘. Il lui tendit la pizza, Mila la repoussa avec sa main, elle n’avait rien commandé, elle était morte voyant, mangé n’était pas sa première préoccupation. Ses placards étaient vides, dans son frigo, 12 œufs se battaient en duels avec une bouteille de lait, 2 yaourts et du bacon. Bill ne comprenait pas, on lui avait pourtant donner cette adresse, Mila déçida donc d’en profiter, elle poussa ses cheveux en arrières, elle attendit qu’il la regarde dans les yeux pour lui sourire et les yeux de Bill changea.


    « Tu as eu beaucoup de pourboire aujourd’hui ? »
    « 50 dollars. »
    « J’ai une idée, tu me donne tes 50 dollars et je prend la pizza ? »


    Bill lui donna aussitôt la pizza, elle fut surprise par la vitesse. Il fouilla dans ses poches et lui donna les billets, elle s’écarta ensuite de la porte. Bill s’avança vers elle, elle recula et se mit a fermer la porte.

    « Non ! Toi tu vas travailler ! »

    Elle lui avait parler comme si elle la connaissait ce qui n’était pas le cas. Elle ferma la porte, avança vers la cuisine américaine, posa la pizza sur le comptoir, elle attrapa une chaise et s’assit. Les billets à côté du carton ouvert, elle se mit a triller les poivrons, elle mâchouilla une part de pizza, elle n’avait pas fin, mais elle avait envie de goutter. La jeune femme se pencha en arrière et ne vu plus l’ombre des pieds de Bill. Elle conta les billets un à un, elle venait de gagner sa journée. Elle descendit de sa chaise, laissa la pizza dans son carton, qu’elle venait de fermer. Elle ferma les lumières et alla s’asseoir, genoux contre poitrine sur le canapé. Elle changeait toutes les 30 secondes de chaînes, puis tomba sur un film d’horreur, comme elle aimait. C’était l’histoire d’une fille ‘posséder’ par le diable. Que des conneries, Lucifer, aurait possédé quelqu’un de plus beau et moins con. Ce film la fut plutôt rire, rien d’effrayant, elle sa tapa un fou rire quand la jeune fille descendit les escaliers en faisant le pont. C’était hilarant, puis le générique de fin, elle se leva et alla allumer la lumière. Après un passage beauté dans la salle de bain, elle retira sa mini jupe en jean et enfila plutôt un jean diesel gris. Elle ajusta son débardeur noir élastique en bas pour que l’élastique se ressert au niveau de la braguette. Elle alla dans l’entrée et ouvrit un placard, remplit de chaussure, elle prit la première paire qui venait, et ce fut la bonne, chaussure a talons noirs, elle se pressa ensuite dans sa chambre, ouvrit le placard et attrapa un gilet en laine. D’un pas déterminé, elle éteignit la télévision, attrapa son sac. Il lui était impossible de dormir, a cette heure là, rien à la télévision, alors elle sortait. Une fois dehors, les derniers fêtards rentrait difficilement chez eux, un parapluie dans la main droite, quand elle reçut la première goutte, elle n’attendit pas et l’ouvrit afin de s’abriter. La jeune femme déambulait, tout était fermé. Elle marchait sans but, une fois qu’elle atteignit le pont, la pluie s’arrêta, elle ferma son parapluie et avança. Elle enfonça sa mains gauche dans sa poche, elle y trouve des pièces, que des centimes, elle les compta plusieurs fois pour vérifier si elle ne se trompait pas dans son calcul. Quand elle releva la tête, elle vu une personne assise par terre. Elle ne pouvait rien faire avec ses 17 centimes, elle s’avança vers l’inconnus puis se recula avant de s’avancer a nouveau. Si elle donnait l’argent, elle allait faire le bien mais d’un côté, elle pouvait aider un tueur donc sa aurait été mal. Toute ses idées s’entre choquait dans la tête de la miss. Puis de toute façon en y réfléchissant, avec 17 centimes on ne pouvait pas faire grand chose. Quand elle s’avança, elle remarqua que la personne était une jeune femme trempée, elle lui posa les centimes devant elle, avant de se retourner. Elle ne se doutait pas que la jeune femme n’était pas SDF.
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